Le mercredi 2 avril, la paisible communauté de Hurti, dans l’État de Plateau au Nigeria, a été plongée dans l’horreur.
Des hommes armés, arrivés à moto, ont attaqué sans pitié.
Plus de 40 personnes ont été tuées.
383 maisons brûlées.
Environ 1 000 personnes déplacées, sans abri, sans nourriture, sans espoir.
Le chef du village, Maren Aradong, a déclaré :
“Nous vivions en paix… et soudain, notre vie nous a été arrachée.”
Le gouverneur de l’État a dénoncé une attaque coordonnée, bien loin d’un simple conflit local.
Derrière cette violence, se cachent des intérêts obscurs, alimentant la haine pour semer le chaos.
Des représentants du gouvernement sont venus avec des dons – matelas, couvertures, vivres.
Mais est-ce suffisant pour apaiser la douleur ?
Peut-on effacer la peur dans les yeux d’un enfant avec un sac de riz ?
Aujourd’hui, Hurti n’attend pas seulement de l’aide.
Elle attend la justice, la paix… et la reconnaissance de sa souffrance
