Mohamed Almaouloud Ag Mohamedoun
Au milieu du tumulte des départs forcés, je veux vous transmettre un cri, un cri qui émane de mon cœur de réfugié. Personne n’a choisi volontairement d’être éloigné de chez soi. C’est une réalité imposée par les circonstances, une épreuve que des millions de personnes comme moi endurent chaque jour.
Mon cri est un appel à la générosité, à la compassion et à l’humanité de ceux qui ont le pouvoir de faire une différence. Merci à tous ceux qui tendent la main pour offrir un refuge, un soutien et un espoir aux réfugiés du monde entier.
Ensemble, nous pouvons transformer ce cri en un chant de solidarité et d’espoir, un rappel puissant que chaque geste de soutien, aussi petit soit-il, compte énormément pour ceux qui se retrouvent dans l’incertitude et la détresse.
Je vous implore de ne pas rester indifférents face à notre souffrance. Ensemble, nous pouvons construire un monde où personne n’aura à vivre loin de chez soi, où la compassion et la solidarité guident nos actions quotidiennes. Chaque geste compte, et chaque geste de solidarité nous rapproche un peu plus d’un avenir où la dignité humaine est préservée pour tous.